L’histoire de Benjamin Rivituso
Construire à partir de la base
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C’était sa première expérience dans le domaine de l’approvisionnement, et c’est resté. Il s’agit de permettre aux autres de bien faire leur travail », dit-il. « J’ai réalisé à quel point j’aimais ça. »
Après avoir contribué à l’intégration du contrat frontalier, Benjamin est retourné en Belgique où il a commencé à soutenir diverses opérations locales, en se concentrant à nouveau sur les achats. Parallèlement, il a obtenu la certification de conseiller en santé et sécurité, se consacrant tous les mardis à la formation, une preuve supplémentaire d’une carrière façonnée par l’apprentissage continu.
Bientôt, il a pris un autre nouveau départ, cette fois à la Maison de transition d’Enghien. Le projet soutient les anciens détenus dans leur réintégration dans la société, en leur offrant un logement, des conseils et une voie à suivre. Benjamin a participé au lancement du service et a ensuite été nommé directeur par intérim.
Après avoir contribué à l’intégration du contrat frontalier, Benjamin est retourné en Belgique où il a commencé à soutenir diverses opérations locales, en se concentrant à nouveau sur les achats. Parallèlement, il a obtenu la certification de conseiller en santé et sécurité, se consacrant tous les mardis à la formation, une preuve supplémentaire d’une carrière façonnée par l’apprentissage continu.
Bientôt, il a pris un autre nouveau départ, cette fois à la Maison de transition d’Enghien. Le projet soutient les anciens détenus dans leur réintégration dans la société, en leur offrant un logement, des conseils et une voie à suivre. Benjamin a participé au lancement du service et a ensuite été nommé directeur par intérim.
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Faire une différence tangible
Aujourd’hui, Benjamin est Responsable Régional des Achats pour la France et le Benelux. Son expérience opérationnelle lui donne un avantage : il comprend les réalités du terrain et sait comment les achats stratégiques peuvent avoir un impact concret.
« Ici, il y a de la place pour l’initiative. Si tu proposes une solution, les gens t’écoutent », dit-il. « Ce n’est pas le cas dans toutes les entreprises. » Il parle aussi avec chaleur de la culture de soutien. « Lorsqu’un collègue est décédé subitement, l’équipe s’est mobilisée – pas seulement sur le plan professionnel, mais aussi personnel. Ça m’a profondément marqué. » Avec le recul, il voit une continuité dans son parcours, malgré le changement de secteur.
« Gérer la restauration de plus de 1 000 personnes sur un site militaire ou équiper des équipes aux frontières, ce n’est pas si différent que de diriger un hôtel. Il s’agit de personnes, de logistique et d’exigence. Pour l’avenir, j’aimerais que Serco intègre davantage de projets à impact social dans son portefeuille. La Maison de Transition m’a montré ce qu’on pouvait accomplir. J’aimerais qu’on en fasse plus – partout en Europe. »
« Ici, il y a de la place pour l’initiative. Si tu proposes une solution, les gens t’écoutent », dit-il. « Ce n’est pas le cas dans toutes les entreprises. » Il parle aussi avec chaleur de la culture de soutien. « Lorsqu’un collègue est décédé subitement, l’équipe s’est mobilisée – pas seulement sur le plan professionnel, mais aussi personnel. Ça m’a profondément marqué. » Avec le recul, il voit une continuité dans son parcours, malgré le changement de secteur.
« Gérer la restauration de plus de 1 000 personnes sur un site militaire ou équiper des équipes aux frontières, ce n’est pas si différent que de diriger un hôtel. Il s’agit de personnes, de logistique et d’exigence. Pour l’avenir, j’aimerais que Serco intègre davantage de projets à impact social dans son portefeuille. La Maison de Transition m’a montré ce qu’on pouvait accomplir. J’aimerais qu’on en fasse plus – partout en Europe. »